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Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS !

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Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Empty Re: Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS !

Message par Gilbert Chevalier Dim 13 Aoû - 23:00

CHERS AMIS,
DÉSOLÉE d’ANNONCER un GÉNOCIDE

par Dr Naomi Wolf
-1ère Partie-

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Moloch11

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonnez-moi.

La vérité, c’est que je suis restée presque sans voix (ou l’équivalent littéraire de cela) parce que récemment j’ai eu la tâche peu enviable d’essayer d’annoncer au monde qu’en effet, un génocide — ou ce que j’ai appelé maladroitement mais de toute urgence une « mortalité de bébés » — est en cours.

Les volontaires de recherche WarRoom/DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui se trouve dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des Volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que Pfizer (et donc la FDA) savait en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils « perdaient en efficacité » et présentaient « un échec vaccinal ». L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le déploiement massif de 2020, était le « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même déployé l’EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu’à ce que août 2021, après que des milliers d’adolescents ont été vaccinés. [https://dailyclout.io/pfizer-vaccine-fda-fails-to-mention-risk-of-heart-damage-in-teens/]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l’ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques ne restaient pas sur le site d’injection dans le deltoïde, mais se propageaient plutôt dans les 48 heures dans la circulation sanguine, puis de là se logeaient dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires. [https://dailyclout.io/internal-pfizer-documents-prove-knowledge-that-lipid-nanoparticles-in-mice-subjects-do-not-remain-in-muscle-but-were-shown-to-be-rapidly-distributed-in-the-blood-to-the-liver/]

Pfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d’ARNM, de nanoparticules lipidiques et de protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer. Les documents internes de l’entreprise montrent un taux plus élevé d’événements indésirables avec la dose de 100 mcg. Ils ont donc cessé d’expérimenter cette quantité en interne en raison de sa « réactogénicité » — les mots de Pfizer — mais personne ne l’a dit à tous les millions d’Américains qui ont eu les première et deuxième doses de 100 mcg de Moderna, et les rappels .

Pfizer a faussé les sujets de l’essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes — sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu’il est advenu de centaines de leurs sujets d’essai.

Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.

Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d’effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l’encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox [la variole du singe]).

Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l’urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole contenu dans les ingrédients du vaccin — un allergène que vous n’êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n’ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.

Pfizer savait que « l’exposition » au vaccin était définie — selon ses propres termes — comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou une lactation. [https://dailyclout.io/vaccine-shedding-can-this-be-real-after-all/]. Les « vérificateurs de faits » peuvent nier tout ce qu’ils veulent. Les documents parlent d’eux-mêmes.

Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l’un de ces problèmes ont été dépréciées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.

Les athlètes, les étudiants et les adolescents s’effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l’AMA ne soufflent pas un mot : s’évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l’un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC, mais pas pour le souligner à vous et moi.

(Source)


Gilbert Chevalier
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Message par Gilbert Chevalier Lun 14 Aoû - 22:34

CHERS AMIS,
DÉSOLÉE d’ANNONCER un GÉNOCIDE

par Dr Naomi Wolf
-2ème Partie-

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Moloch11

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

J’ai pu traiter tout cela et continuer simplement à faire des rapports. Mais ces dernières semaines, l’horreur m’a submergé. Parce que maintenant, les volontaires, sous l’excellente direction de la responsable du programme Amy Kelly, ont confirmé qu’un génocide est en cours, intentionnellement ou non. Et la journaliste israélienne Etana Hecht a ajouté sa propre superbe analyse. Voici le résumé de Mme Hecht des conclusions des Volontaires :

Il semble qu’il puisse effectivement y avoir un génocide fortuit. La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm. Et si vous savez que la reproduction est altérée, et que les bébés et les fœtus sont altérés, et que vous savez que c’est à grande échelle, ce que tout le monde chez Pfizer et à la FDA qui a lu ces documents savait — et si vous n’arrêtez pas — alors est-ce que ça ne peut finalement pas devenir un génocide ?

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que les nanoparticules lipidiques (les minuscules enveloppes grasses dures qui contiennent l’ARNm) traversent la membrane amniotique. Cela signifie qu’ils pénètrent dans l’environnement fœtal, bien sûr. (Ils traversent également la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut aider à expliquer les accidents vasculaires cérébraux post-ARNm et les problèmes cognitifs que nous observons). Les volontaires ont approfondi les rapports de Pfizer sur la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude de 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont dirigé l’étude sont actionnaires ou employés de BioNTech). [ https://dailyclout.io/covid-19-vaccines-pregnancy-risky-business/ ]

Les Volontaires ont constaté que si les femmes enceintes étaient exclues des études internes, et donc de l’EUA sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes étaient assurées que le vaccin était « sûr et efficace », néanmoins environ 270 femmes sont tombées enceintes au cours de l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été perdues d’une manière ou d’une autre en cours de route. Mais sur les 36 femmes enceintes dont les résultats ont été suivis, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé était mort après avoir été allaité par une mère allaitante vaccinée et qu’il avait eu une inflammation du foie. De nombreux bébés allaités de mères vaccinées ont montré de l’agitation, des troubles gastro-intestinaux et un retard de croissance et étaient inconsolables.

J’entends maintenant des rapports anecdotiques de ces symptômes chez les bébés allaités par des mères vaccinées de partout au pays.

Les documents de Pfizer montrent également que certaines mères vaccinées avaient supprimé la lactation ou ne pouvaient produire aucun lait.

Les médecins, bien sûr, sont perplexes face à tout cela. Perplexes.

La base de données du NIH contient une étude préimprimée démontrant qu’il existe des quantités négligeables de PEG dans le lait maternel des femmes vaccinées. 
[ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8351783/ ]

Mais qu’est-ce qu’une quantité négligeable d’un produit pétrolier dans le lait maternel, quand on est un tout petit, nouveau-né sans immunité, qui vient d’arriver au monde ? La préimpression du NIH elle-même a signalé des niveaux plus élevés de détresse gastro-intestinale et d’insomnie chez les nourrissons étudiés, et une mère avait des niveaux élevés de PEG dans le lait maternel, et les petits caractères concluent qu’une étude plus approfondie est nécessaire :

« Des études plus importantes sont nécessaires pour accroître notre compréhension du transfert du PEG dans le lait maternel et des effets potentiels après ingestion par le nourrisson. Bien que le consensus des experts indique que le risque potentiel de la vaccination maternelle contre le COVID-19 est minime ou inexistant pour le nourrisson ( 20 , 21 ). Les symptômes mineurs qui ont été signalés (modifications du sommeil et symptômes gastro-intestinaux) pourraient être étudiés plus en détail dans de futures études pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. »

Étant donné qu’aucun bébé n’est mort dans le bref laps de temps de la petite étude, celle-ci a conclu que les bébés allaités ne souffraient d’aucun effet néfaste réel de la part des mères vaccinées. Mais l’étude n’a pas suivi ces pauvres bébés, avec leur insomnie reconnue et leur détresse gastro-intestinale confirmée, pour voir s’ils « prospéraient » réellement — prenaient du poids et se développaient normalement.

Sur une telle science erronée, les femmes ont assuré que les vaccins étaient « sûrs et efficaces » pour elles et leurs bébés allaités.

Mais — quatre des femmes allaitantes vaccinées dans les documents de Pfizer ont signalé du lait maternel « bleu-vert ». Je ne l’invente pas. Et le bébé allaité qui est mort, avec une inflammation du foie — le cas a été enterré ; n’a pas fait la une des journaux.

Par coïncidence – ou non – la MÊME FDA qui a fermé les yeux sur les vastes méfaits causés aux humains et à la sous-catégorie des mères et des bébés, dans les documents de Pfizer, a déclaré qu’Abbot, un important producteur de lait maternisé aux États-Unis, devait fermer son usine. 
[ https://www.cnbc.com/2022/05/16/abbott-reaches-agreement-with-fda-to-reopen-baby-formula-plant-to-ease-nationwide-shortage.html ]

Par coïncidence, avec peu de préparations disponibles et avec certaines ou plusieurs (nous ne savons pas) mères vaccinées ayant un lait maternel compromis, il s’avère que Bill Gates, Jeff Bezos, Richard Branson et Mark Zuckerberg ont tous investi dans une startup appelée « BioMilq  » — qui produit du lait maternel cultivé en laboratoire à partir de cellules mammaires.
[ https://www.cnbc.com/2020/06/16/biomilq-raises-3point5-million-from-bill-gates-investment-firm.html ].

Les rapports de cette startup incluent ce langage à la Frankenstein comme si c’était normal :

« L’équipe BIOMILQ crée son produit à partir de cellules prélevées sur du tissu mammaire humain et du lait, données par des femmes de la communauté locale, qui reçoivent en retour une carte-cadeau Target. »
( https://www.cnn.com/2022/05/03/business/lab-grown-human-milk-biomilq-health-climate-hnk-spc-intl/index.html )

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Mar 15 Aoû - 23:30

CHERS AMIS,
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par Dr Naomi Wolf
-3ème Partie-

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Moloch11

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

Comme si tout cela n’était pas assez horrible, Mme Hecht a tiré des études de trois pays — le Canada, l’Écosse et maintenant Israël — pour montrer que les bébés meurent de manière disproportionnée, pendant et après 2021, dans les pays hautement vaccinés, et que les nouveau-nés meurent de manière disproportionnée s’ils ont des mères vaccinées versus des mères non vaccinées.

Dans une Écosse hautement vaccinée, près du double du nombre de bébés décédés en 2021 par rapport aux chiffres de référence. 
[ https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/ ]. 

En Ontario, au Canada, 86 bébés sont décédés en 2021, contre une base de référence de quatre ou cinq ; il s’agissait d’une mortalité infantile si grave qu’un parlementaire courageux a porté la question au Parlement. 
[ https://nonvenipacem.com/2021/12/10/explosive-rise-in-ontario-stillbirths-triggers-parliamentary-questions/ ].

En Israël, à l’hôpital RamBam de Haïfa, il y a eu 34 % d’avortements spontanés et de mortinaissances en plus chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées.

Mme Hecht note également que le dérèglement menstruel chez les femmes vaccinées est maintenant pleinement confirmé par de nombreuses études, avec une moyenne d’un jour supplémentaire de saignement par mois (un effet secondaire à propos duquel j’avais mis en garde en mars 2021, qui à son tour m’a fait être traitée de tous les noms par un commentateur de CNN et définitivement virer de Twitter).

Vous n’avez pas besoin de connaître plus que la biologie de la huitième année [de scolarité] pour savoir qu’un cycle menstruel dérégulé, sans parler de l’accumulation de protéines de pointe dans les ovaires, sans parler de la traversée des membranes du corps, y compris le sac amniotique, par de minuscules graisses dures (les nanoparticules lipidiques), sans parler du PEG dans le lait maternel, vont toutes affecter la fertilité, la santé fœtale, l’accouchement et le bien-être ou la détresse gastro-intestinale des bébés, et donc leur capacité ou leur incapacité à se développer (et encore moins à créer des liens).

Et maintenant, les bébés meurent. Maintenant, étendez les données du Canada, de l’Écosse et d’Israël à toutes les nations vaccinées du monde.

Que fait-on de tout cela ?

Sachant comme je le sais maintenant, que Pfizer et la FDA savaient que les bébés mouraient et que le lait des mères se décolorait en regardant simplement leurs propres dossiers internes, sachant comme moi qu’ils n’ont alerté personne et encore moins arrêté ce qu’ils faisaient, et qu’à ce jour, Pfizer, la FDA et d’autres entités démoniaques de « Santé publique » poussent à vacciner de plus en plus de femmes enceintes, maintenant qu’ils sont sur le point d’imposer cela aux femmes d’Afrique et d’autres pays à faible revenu qui ne recherchent pas les vaccins à ARNm, selon le PDG de Pfizer, Bourla, la semaine dernière au WEF, et sachant que Pfizer fait pression et pourrait même recevoir un EUA américain pour des bébés aux enfants de cinq ans, je dois conclure que nous nous penchons sur un abîme du mal jamais vu depuis 1945.

Alors, je ne sais pas pour vous, mais moi, je dois changer de vitesse avec ce genre de savoir indicible pour tenir un autre genre de discours.

Je ne dis pas que c’est exactement comme trouver des preuves des expériences du Dr Mengele, mais je dis, avec ces résultats, que maintenant la comparaison n’est peut-être pas si excessive. Ces anti-humains chez Pfizer, parlant au WEF, ces anti-humains à la FDA sachant ce qu’ils savent ciblent le corps féminin miraculeux, avec sa capacité à concevoir, engendrer, donner naissance et nourrir la vie. Ils ciblent la capacité du corps féminin à soutenir un être humain nouveau-né avec rien d’autre que lui-même. Ils ciblent la membrane amniotique, les ovaires qui libèrent l’ovule, ils ciblent la lymphe et le sang qui aident à soutenir la formation du lait maternel, ils ciblent le fœtus in utero, impuissant.

Ils visent l’environnement même du fœtus humain, l’un des espaces les plus sacrés sur cette terre, sinon le plus sacré.

Et ils le savent.

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Mer 16 Aoû - 22:47

OTTAWA INDEMNISE des PERSONNES
VICTIMES d’un VACCIN contre la COVID-19
Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Ross-w10
Ross Wightman a reçu le diagnostic de la maladie Guillain-Barré
peu de temps après avoir reçu une première dose du vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca.

Cet article de presse de la société d’état Radio-Canada informe le public des possibilités de demander une indemnisation pour les victimes d’un vaccin Covid-19. L’exemple  d’une victime, Ross Wightman, est cité dans ce texte. On peut se demander pourquoi le gouvernement canadien continue à interdire les Canadiens non-vaccinés de voyager à l’intérieur et à l’extérieur du pays (avion, train, bus), ces derniers refusant de se faire injecter un poison (vaccin Covid-19). La publication des rapports de la société pharmaceutique Pfzier sur les séquelles de son vaccin dangereux devrait en principe pouvoir faire arrêter les injections Covid-19.  Cependant le gouvernement fédéral ne semble pas prêt à faire lever les restrictions et continue d’encourager la vaccination dès l’enfance. Combien de victimes faudra-t-il encore pour stopper ce vaccin tueur ? (Mondialisation.ca)

*****

Un Britanno-Colombien sera parmi les premiers Canadiens à être indemnisés grâce au Programme de soutien aux victimes d’une vaccination (PSVV)(Nouvelle fenêtre), mis sur pied pour offrir une aide aux personnes qui auraient subi des contrecoups d’un vaccin, comme celui contre la COVID-19.

Ross Wightman est une des 10 personnes qui ont été hospitalisées en raison du syndrome de Guillain-Barré moins de 30 jours après avoir reçu un vaccin contre la COVID-19 depuis décembre 2020, selon le Centre des maladies infectieuses de la Colombie-Britannique (BCCDC).

Résident de Lake Country, dans l’intérieur de la Colombie-Britannique, il a développé cette maladie auto-immune rare quelques jours seulement après avoir reçu sa première et seule dose du vaccin d’AstraZeneca.

En raison de cette maladie qui s’attaque au système nerveux, Ross Wightman est partiellement paralysé.

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Jeu 17 Aoû - 22:47

ESPAGNE :
Le PATRON
de l’une des PRINCIPALES SOCIÉTÉS PHARMACEUTIQUES
et de NOMBREUX CHANTEURS, ATHLÈTES
et HOMMES d’AFFAIRES
FAUSSEMENT « VACCINÉS » contre le COVID

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Sousa-far-pharmamar

Depuis longtemps circulent des rumeurs affirmant que beaucoup de politiciens et autres célébrités de par le monde n’ont pas vraiment reçu d’injection de « vaccin » anti-Covid. Rumeurs complotistes ? La mascarade commence à éclater.  En Espagne, il n’est plus possible de cacher les résultats de l’opération Jenner, qui enquête sur 2 200 personnes inscrites au registre national de vaccination contre le Covid en échange d’argent et sans injection.

La liste des personnes faisant l’objet d’une enquête pour avoir été faussement vaccinées contre le Covid contient les noms de vedettes de la chanson et de la télévision, d’athlètes et d’hommes d’affaires. Le nom qui retient pour l’instant le plus l’attention est José María Fernández Sousa-Faro, président de PharmaMar, l’une des plus importantes sociétés pharmaceutiques d’Espagne. N’est-il pas symptomatique de constater qu’un gros bonnet de Big Pharma en Espagne n’a pas eu confiance dans ces vaccins que certains voudraient rendre obligatoires.

Pauda Keoma Salas Sánchez, dont le nom de scène est Kidd Keo, Melina Altés, plus connue sous le pseudonyme Anier et José del Olmo qui se fait appeler Jarfaiter, trois vedettes dans le monde du rap espagnol, sont également de faux vaccinés. Tout comme l’actrice Veronica Echegui.

Le monde du sport est également bien représenté sur la liste. Bruno González Cabrera, footballeur, Fabio Díez Steinaker, vice-champion d’Europe en beach-volley et cinquième aux Jeux Olympiques de Sydney, José Luis Zapater, boxeur, sont quelques noms cités.

Le Dr Camilo Esquivel, chirurgien people, figure aussi sur la liste. Tout comme l’homme d’affaires Trinitario Casanova.

Espérons que les enquêteurs parviendront à citer aussi les noms des politiciens de la liste sans qu’il leur arrive un « accident ».

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Sam 19 Aoû - 22:43

Un JEUNE GARÇON est MORT d’une MYOCARDITE
après AVOIR REÇU un VACCIN PFIZER,
DÉCLARE le CDC
AVANT de DONNER son AVAL
à la 3ème INJECTION
pour les ENFANTS de 5 à 11 ANS

Les données VAERS publiées vendredi par les Centers for Disease Control and Prevention font état de 1 277 980 signalements d'effets indésirables, tous groupes d'âge confondus, après la vaccination COVID-19, dont 28 312 décès et 232 694 blessures graves entre le 14 décembre 2020 et le 20 mai 2022.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié aujourd’hui de nouvelles données montrant qu’un total de 1 277 980 rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 20 mai 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Cela représente une augmentation de 9 972 événements indésirables par rapport à la semaine précédente.

Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.

Les données comprennent un total de 28 312 rapports de décès – soit une augmentation de 171 par rapport à la semaine précédente – et 232 694 blessures graves, dont des décès, au cours de la même période – soit une augmentation de 2 330 par rapport à la semaine précédente.

Si l’on exclut les «rapports étrangers » au VAERS, 820 788 événements indésirables, dont 13 045 décès et 82 974 blessures graves, ont été signalés aux États-Unis entre le 14 décembre 2020 et le 20 mai 2022.

Les rapports étrangers sont des rapports que les filiales étrangères envoient aux fabricants de vaccins américains. En vertu de la réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, si un fabricant est informé d’un rapport de cas étranger décrivant un effet à la fois grave et ne figurant pas sur l’étiquetage du produit, il est tenu de soumettre le rapport au VAERS.

Sur les 13 045 décès signalés aux États-Unis au 20 mai, 16 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 20 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 583 millions de doses de vaccin COVID-19 avaient été administrées au 20 mai, dont 344 millions de doses de Pfizer, 220 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J).
Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Vaers-15

Chaque vendredi, le VAERS publie les rapports de blessures liées aux vaccins reçus à une date précise. Les rapports soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation de cause à effet puisse être confirmée.

Historiquement, il a été démontré que le VAERS ne rapporte que 1 % des effets indésirables réels des vaccins.

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 20 mai 2022, pour les enfants de 5 à 11 ans, montrent :


    - 10 820 événements indésirables, dont 285 qualifiés de graves et 5 décès signalés.

    - 22 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).

   - Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences.

    - Le Défenseur a constaté au cours des semaines précédentes que les rapports de myocardite et de péricardite ont été retirés par le CDC du système VAERS dans cette tranche d’âge. Aucune explication n’a été donnée.

    - 43 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 20 mai 2022, pour les jeunes de 12 à 17 ans, montrent :

    - 31 762 événements indésirables, dont 1 828 qualifiés de graves et 44 décès signalés. Le VAERS a signalé 44 décès dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans la semaine dernière.

    - 63 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort – 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.

    - 652 rapports de myocardite et de péricardite dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer.

    - 168 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 20 mai 2022, tous groupes d’âge confondus, le montrent :

    - 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.

    - 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée.

    - L’âge moyen du décès était de 73 ans.

    - Au 20 mai, 5 542 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins COVID-19, dont 1 736 rapports de fausse couche ou de naissance prématurée.

    - Sur les 3 618 cas de paralysie de Bell signalés, 51% ont été attribués aux vaccins Pfizer, 40% à Moderna et 8% à J&J.

    - 882 rapports de syndrome de Guillain-Barré, avec 42% des cas attribués à Pfizer, 30% à Moderna et 28% à J&J.

    - 2 301 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.

    - 1 716 rapports d’ infarctus du myocarde.

    - 14 035 rapports de troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 283 rapports ont été attribués à Pfizer, 5 020 rapports à Moderna et 2 694 rapports à J&J.

    - 4 204 cas de myocardite et de péricardite dont 2 578 cas attribués aux vaccins COVID-19 de Pfizer, 1 428 cas à ceux de Moderna et 184 cas à ceux de J&J.

Les CDC reconnaissent que le garçon est mort d’une myocardite et approuvent le vaccin COVID pour les enfants de 5 à 11 ans.

Un jeune garçon âgé de 5 à 11 ans est décédé après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, selon les CDC.

Pourtant, le groupe consultatif sur les vaccins des CDC et sa directrice, le Dr Rochelle Walensky, ont approuvé l’administration d’une troisième dose à ce jeune groupe d’âge, bien qu’ils aient eu connaissance du décès du garçon.

Le Dr Tom Shimabukuro, membre de l’équipe de l’agence chargée de la sécurité des vaccins, a déclaré lors d’une réunion virtuelle du Comité consultatif sur les vaccinations et les pratiques (ACIP) qu’un jeune homme est décédé 13 jours après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID de Pfizer.

Le garçon a eu de la fièvre 12 jours après sa première dose. Un jour plus tard, il a ressenti des douleurs abdominales et des vomissements. Il est décédé le même jour. Les preuves ont montré que le garçon souffrait d’une inflammation cardiaque connue sous le nom de myocardite.

« Ce patient a eu une évolution clinique rapide. Entre le moment où il a commencé à ressentir des douleurs abdominales le 13e jour après la première dose et le moment où il a été amené sur le site [des urgences] et où il est mort, il s’est écoulé environ deux heures », a déclaré M. Shimabukuro.

« L’autopsie a révélé des signes histopathologiques de myocardite, qui ont été résolus comme étant la cause du décès », a-t-il ajouté.

Le décès a été signalé au VAERS et vérifié par le CDC grâce à un entretien avec le prestataire de soins.

Les tests effectués sur le garçon par le service de pathologie des maladies infectieuses du CDC « n’ont pas trouvé de preuve d’infection virale au moment du décès », a déclaré M. Shimabukuro.

L’ACIP n’a pas posé de questions ni discuté du décès, mais a plutôt déterminé que les avantages du vaccin COVID de Pfizer l’emportaient sur les risques.

La famille d’un jeune homme de 26 ans décédé 13 jours après la piqûre d’AstraZeneca envisage une action en justice.


Une dernière audience a débuté le 23 mai dans le cadre de l’enquête sur le décès d’un homme de 26 ans qui a succombé l’année dernière à des caillots sanguins « catastrophiques » dans son cerveau 13 jours après avoir reçu le vaccin COVID-19 d’AstraZeneca.

La famille de Jack Hurn espère que l’enquête répondra à des questions sur les circonstances de son décès, notamment sur les raisons pour lesquelles les professionnels de la santé ont refusé que Hurn reçoive un vaccin Pfizer au lieu du vaccin AstraZeneca, qui est associé à la formation de caillots sanguins chez les personnes de moins de 30 ans.

Le personnel du centre de vaccination où Hurn et sa petite amie ont reçu leurs vaccins leur aurait dit que le vaccin Pfizer n’était pas disponible et leur aurait assuré que le vaccin AstraZeneca était sûr.

Les médecins légistes d’Angleterre et du Pays de Galles doivent organiser des enquêtes dans les cas où les décès sont soudains, inexpliqués ou pourraient résulter d’erreurs ou de négligences médicales. L’audience finale devrait durer trois jours.

Un porte-parole du cabinet d’avocats de Portman-Hann a déclaré au Daily Mail: « La famille envisage une plainte pour négligence clinique mais attend les résultats de l’enquête pour décider des prochaines étapes ».

Risque accru de syndrome de Guillain-Barré après la vaccination J&J COVID


Selon Neurology Advisor, l’incidence du syndrome de Guillain-Barré (SGB) était élevée après la vaccination avec le vaccin COVID-19 de J&J – fabriqué par Janssen.

Une nouvelle étude publiée dans JAMA Open Network a analysé les dossiers Safety Datalink de 10 158 003 personnes aux États-Unis en novembre 2021.

Les chercheurs ont cherché à évaluer le taux de SGB après avoir reçu l’un des vaccins COVID-19. Les taux d’incidence du SGB jusqu’à 84 jours après la vaccination ont été évalués pour chacun des trois vaccins – Pfizer, Moderna et J&J. Bien que les deux vaccins à ARNm aient montré des taux d’incidence élevés de SGB, dans une comparaison directe, le vaccin J&J a été associé à une incidence plus élevée de SGB par rapport aux vaccins à ARNm.

Analyse risques-avantages des vaccins COVID-19 de Pfizer et Moderna chez les enfants et les adolescents


Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, un document actualisé fournit une analyse complète des risques et des avantages de l’utilisation des vaccins Pfizer et ModernaCOVID-19 chez les enfants et les adolescents.

Elle fait valoir que les vaccins :

  • ne sont pas nécessaires, car le risque de maladie grave ou de décès dû à la COVID chez les enfants et les adolescents est très faible ;

  • n’ont pas prouvé leur efficacité dans les essais cliniques, ni dans les études récemment publiées sur la variante Omicron, désormais prédominante ;

  • n’ont pas été prouvés sûrs ; au contraire, il existe de nombreuses preuves de dommages graves dus à la vaccination.

Le document aborde également le risque de génotoxicité des vaccins à ARNm, qui, selon les récentes preuves expérimentales de leur intégration dans les génomes des cellules hôtes, doit être considéré comme urgent.

La Childrens Health Defense (la défense de la santé des enfants (CHD) demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

(Source)


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Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Empty Re: Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS !

Message par Gilbert Chevalier Lun 21 Aoû - 22:39

Le Dr UMLIL du CTIAP de CHOLET
auditionné au SÉNAT
sur les EFFETS SECONDAIRES des VACCINS :
« L’OBLIGATION VACCINALE,
il FAUDRA l’ARRÊTER au PLUS VITE »

Le Dr Amine Umlil a été auditionné publiquement le 24 mai 2022 par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPESCT) dans le cadre de l’enquête du Sénat sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid réalisée suite à une pétition citoyenne.

L’audition a été diffusée en direct sur le site internet du Sénat. Dans cet article, nous avons retranscrit l’intervention percutante du M. Umlil, pharmacien hospitalier, directeur du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques du centre hospitalier de Cholet.
https://gloria.tv/post/22ErnRQ9hkQmCdiFnTtueFvtm


Le Dr Umlil, le 24 mai 2022 au Sénat :

« Les autorités ad hoc attendaient des preuves complémentaires avec ce vaccin qui concernaient non seulement les bénéfices et les risques, mais également, ce qui est inédit pour un pharmacien comme moi, la composition de ces vaccins.

Un calendrier précis attendait des preuves concernant la caractérisation de la substance active et du produit fini, le renforcement de la stratégie de contrôle afin d’assurer une qualité constante du produit, des données de validation supplémentaires en vue de reconfirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini, le procédé de synthèse et la stratégie de contrôle de deux excipients qui seraient nouveaux
 : l’ALC-0315 et l’ALC-0159 en vue de confirmer leur profil de pureté et d’assurer un contrôle de qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini.

◆ Un pari biologique

En posant la question sur ces preuves attendues alors que les dates d’échéance ont été dépassées, on a posé la question à l’ANSM. On a eu deux réponses différentes : Mme la directrice a répondu à un avocat qu’elle ne savait pas, qu’elle transmettait la demande à l’Agence européenne du médicament. Par ailleurs, une autre entité de l’ANSM, la cellule accueil usagers, a répondu à un médecin qui s’interrogeait sur ces preuves complémentaires. On lui a répondu que tout allait bien, que les preuves étaient transmises. Mais bon, donc, on tiendra compte de la directrice de l’Agence nationale de sécurité du médicament qui ne savait pas, qui a transmis à l’Agence européenne du médicament.

Ma question est : conformément au règlement de 2004 et notamment l’
article 20.4, un État membre peut, de sa propre initiative, suspendre l’utilisation d’un produit de santé sur son territoire pour protéger la santé de la population en cas de besoin et donc, comment l’ANSM ne peut-elle pas être informée du suivi de ces preuves complémentaires qui étaient attendues ? Et par ailleurs […] l’Agence européenne du médicament attend deux rapports pour le vaccin Pfizer, décembre 2023 et juillet 2024.

Je rappelle brièvement que l’appréciation du risque se fait au regard du bénéfices-risques santé, que le vaccin s’adresse à des personnes en bonne santé. […] En l’absence d’un bénéfice démontré par des preuves de haute qualité, ce qui a d’ailleurs été exigé pour des molécules anciennes, le rapport est nécessairement défavorable, d’autant plus que nous sommes dans un cadre expérimental.

Le raisonnement, vous l’avez compris, va se focaliser sur le vaccin
[Pfizer], parce que c’est le plus prescrit, le premier autorisé et pour lequel nous avons plus de recul, mais le raisonnement peut être transposé aux autres vaccins. […]

Il ressort des documents officiels, notamment de la Haute Autorité de santé, que la construction de l’essai clinique lui-même ne permettait pas d’apporter la preuve d’une efficacité sur les formes graves, ou sur la transmission virale.

Il s’agit bien d’un pari biologique. La population n’a pas été informée de façon claire sur le fait qu’il s’agit bien d’un essai clinique.

◆ Mésusage de la pharmacovigilance

La Covid-19 est une maladie qui a tué. Pour autant, elle ne figure toujours pas sur les deux listes r
églementaires des maladies à déclaration obligatoire. Pour figurer sur cette liste, il faut être une maladie dangereuse, contagieuse et disposer d’un test de diagnostic fiable. Je vous renvoie aux articles D3113, tiret 6 et tiret 7, combinés avec l’article L3113-1 du Code de la santé publique.

Le LEEM, les entreprises du médicament, le 17 juillet 2021, ont publié un document intitulé “
[url=https://www.leem.org/sites/default/files/2021-07/20210716_Covid-19 et Vaccins_questions_r%C3%A9ponses_V1.pdf]Covid-19 et vaccins[/url]”. Selon le LEEM, la Covid-19 est plus contagieuse que le SRAS et le MERS, mais a un moindre taux de mortalité. […]

Malgré l’insuffisance ou l’absence des données, des populations ont été injectées, je citerai en particulier les plus de 75 ans par lesquels on avait commencé. Les immunodéprimés, les femmes enceintes, les femmes qui allaitent et les enfants.

[…] On a reçu un mail le 11 juillet 2021 qui nous incitait, professionnels de santé,
[à injecter] jusqu’à trois doses pour les immunodéprimés. Or, l’autorisation de mise sur le marché, conditionnelle, dans la rubrique mise en garde spéciale, indiquait qu’on n’avait pas assez de données. Et pour un pharmacien, cela s’appelle du mésusage et engage la responsabilité pénale du pharmacien notamment et du médecin.

La pharmacovigilance ne consiste pas […] à compter les effets indésirables graves, notamment les décès, mais aussi et surtout à les prévenir.

Ça nous conduit à s’interroger, en amont de l’apparition des effets indésirables et notamment sur les conditions de prescription et de dispensation pharmaceutique, d’autant plus que la méthode d’imputabilité utilisée en pharmacovigilance a deux limites, qui sont connues, admises par tout le monde et qui ne sont pas la faute des responsables de pharmacovigilance […] : une sous-notification importante. Le
réseau français des 31 centres de pharmacovigilance twittait au mois de novembre 2021 qu’un effet indésirable sur 10 remontait seulement. Et deuxième limite : c’est que la méthode ne permet pas d’affirmer la certitude de lien de causalité et ça, les gens ont du mal à comprendre et vous reprendrez toutes mes conférences. On fait l’effort de leur expliquer que si la pharmacovigilance ne peut pas affirmer la certitude de lien de causalité, ce n’est pas parce qu’elle veut cacher des choses, mais que c’est lié à la limite de la méthode utilisée.

◆ Un lien de cause à effet qu’on ne peut écarter

Pour autant, le
rapport de l’IGAS de 2011 a formulé de sévères critiques […] à l’égard de la pharmacovigilance française. Il affirme qu’elle ne veut pas évoluer, qu’elle n’a pas fait évoluer ses méthodes, et que ses outils sont en décalage avec les objectifs affichés de la pharmacovigilance. Nous reviendrons, je prendrai deux cas, sur les décès et sur le cas d’un enfant qui a perdu la vue, et qui montrent que la méthode d’imputabilité qui a été fixée par le rapport numéro 2 du 28 janvier 2021 et qui a été publié sur le site de l’ANSM. Une méthode d’imputabilité a été fixée qui ne semble pas avoir été respectée.

Cette méthode dit quoi ? […] On peut écarter la responsabilité du vaccin dès lors, je cite, “qu’une autre cause, certaine, permet d’expliquer l’effet indésirable”, notamment le décès. Or, nous avons dans le
rapport numéro 18 [du 26 août 2021] publié sur le site de l’ANSM, 907 décès et dans ce rapport on lit que uniquement les personnes vivantes de moins de 50 ans ont fait l’objet d’une analyse approfondie […] ce qui représente 35 décès sur 907. Et sur les 35 décès qui ont fait l’objet d’une analyse approfondie, il y en a 16 qui sont étiquetées dans son rapport de cause inconnue. Cause inconnue veut dire qu’on n’a pas, ce qui a été défini par la méthode initialement, de cause autre certaine qui permette d’expliquer le décès.

Donc, la conclusion aurait dû être la suivante : sans affirmer la certitude de lien de causalité, ils auraient dû publier qu’on ne peut pas écarter le rôle du vaccin.

Deuxième exemple : un enfant qui a perdu la vue. […] J’ai fait deux expertises juridiques, à la demande d’un avocat pénaliste et d’une autre avocate. Pour l’enfant qui a perdu la vue, j’ai rendu la conclusion sur la méthode définie par l’ANSM. […] Toute la batterie de tests qui a été faite pour cet enfant : négatif. J’ai rendu la conclusion : présomption simple de causalité […] parce qu’aucune autre cause certaine ne permet […] d’expliquer pourquoi cet enfant au bout de quatre jours, après la première injection, il est devenu aveugle.

L’hôpital dans la région parisienne de l’APHP qui avait pris cet enfant en charge, la pharmacovigilance officielle a rendu dans un courrier en notre possession la même conclusion que moi : on ne peut pas exclure le rôle du vaccin. J’ai pas vu cette phrase dans un rapport de l’ANSM à la date du 26 août 2021, parce qu’à partir de ce moment-là, quand j’ai vu comme on écartait comme ça facilement des cas précis, j’ai arrêté de lire les documents publiés sur le site de l’ANSM alors que je n’ai fait que les diffuser depuis le début, parce que je trouvais que l’ANSM avait fait un travail important. […] Le premier décès, c’était en janvier 2021. On avait cette phrase, chez une personne en E
hpad : “Aucun effet indésirable immédiat n’est intervenu.” Phrase suivante : “Le décès est intervenu 2 h après.” Alors, si 2 h après, c’est pas un effet immédiat, je ne sais pas ce que c’est. En tout cas, je ne comprends pas.

◆ Une autorisation de mise sur le marché non respectée

Des recommandations, faites par des autorités officielles, je citerai l’ANSM et la Haute Autorité de santé, qui nous obligeaient, qui nous recommandaient de passer outre l’autorisation de mise sur le marché. Un exemple : dès le mois de janvier 2021, l’autorisation de mise sur le marché du laboratoire Pfizer nous demandait de respecter un délai de 21 jours entre la première et la deuxième injection, et l’
ANSM recommandait d’espacer le délai jusqu’à 42 jours. Et il a été suivi quelques jours après par la Haute Autorité de santé. Et ce fait a même conduit l’Académie de médecine elle-même à rappeler les risques d’un tel allongement de délai entre les deux injections et à rappeler ce que le laboratoire lui-même a dit.

J’avais l’impression que le laboratoire était plus prudent que le gendarme du médicament. Le laboratoire a dit qu’il ne pouvait pas garantir les résultats affichés avec un tel espacement de délai. Les risques rappelés par l’
Académie de médecine : c’est l’apparition d’anticorps facilitants, le professeur Fischer a parlé des anticorps neutralisants, mais il a oublié de parler des anticorps facilitants, et le risque de voir apparaître des variants, des résistants, une sorte de résistance à la vaccination.

◆ Quid du consentement ?

L’information est un droit. On n’a pas entendu un mot sur le consentement lors de la première table ronde, pas un seul mot sur le consentement. […] Le consentement est une liberté fondamentale. […] Le Code de
la santé publique commence par une première partie qui s’appelle “Protection générale de la santé” et par un chapitre préliminaire “Droits de la personne”. Parmi ces droits, le respect de la dignité de la personne humaine. Ce principe de la dignité de la personne humaine repose sur le respect de l’autonomie de la volonté qui, avec le respect du secret médical, constitue les deux pièces maîtresses de la relation de confiance qui unit la personne à son médecin. […]

Lorsqu’on ne diffuse pas une information […] et les bonnes pratiques de pharmacovigilance qui sont intégrées au Code
de la santé publique, claires, loyales et appropriées, on prend le risque de vicier le consentement, qui doit être normalement libre et éclairé, et surprotégé, puisqu’on est encore dans le cadre d’un essai clinique. Quand on ne fait pas ça, on prend le risque de porter atteinte à la dignité de la personne humaine. […] C’est le nœud du problème, c’est pas le vaccin, le problème. Le problème, c’est pas le vaccin, le problème c’est l’obligation de faire intégrer des gens dans un essai clinique et de force, par une obligation, par la loi. Une “loi” qui n’a toujours pas été validée par le Conseil constitutionnel, l’article 12, pour les professionnels de santé, pour les pompiers et tous les personnels qui sont soumis à cette obligation. […] Et l’article 14, celui qui consacre les sanctions, c’est-à-dire le fait de désactiver socialement ces professionnels de façon extrajudiciaire, au mépris de tous les droits de la défense, sans entretien préalable, et qui nous a propulsés, je sais pas, un siècle en arrière en termes de droit du travail.

Le Conseil constitutionnel, lorsqu’il a été saisi par les parlementaires, lors du contrôle de constitutionnalité a priori, pour les professionnels de santé, la question de la constitutionnalité des articles […] n’a pas été soulevée. Le Conseil constitutionnel avait la possibilité de relever cela d’office, il ne l’a pas fait. Et toutes les questions prioritaires de constitutionnalité qui ont été soulevées dans le cadre des litiges ont été rejeté
es et bloquées par le Conseil d’État notamment. […] »

Umlil se fait remettre à sa place, car il se lance dans une analyse politique des faits.

◆ Des effets indésirables minimisés

« Je reviens sur le sujet : le défaut d’information et le mésusage aussi peuvent faire encourir à ces produits la qualité juridique de produits défectueux, ce qui serait dommage. Je rappelle que le principe, c’est l’inviolabilité du corps humain et que l’exception, c’est l’intervention médicale.

Je viens maintenant vous lire à quoi on a eu droit, en termes de communication. Je cite ce
tweet qui a été publié le 9 juillet 2021 sur le compte du ministère des Solidarités et de la Santé. Je ne dis pas que c’est lui, je dis que c’était sur son compte Twitter. “Vaccination Covid-19 : si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude, c’est que vous avez trop pédalé.” Et on voit une photo de jeunes en train de pédaler avec un pédalo à la surface de l’eau. […] Une affiche diffusée sur le site de l’ANSM : “Oui, le vaccin peut avoir des effets désirables.”

Et je peux vous lister comme ça plein de slogans, d’affiches, de bidouillages publicitaires qui montrent que tout a été fait pour minimiser les effets indésirables, et pour embellir le bénéfice, et notamment auprès des jeunes.
 
On essaie d’interrompre M. Umlil en lui disant qu’il semblerait qu’il en soit déjà à 20 min de temps de parole, alors qu’il n’en est qu’à 16 min environ.

« On a eu des journaux, des fact-checkers, qui nous ont dit qu’on ne pouvait déclarer les effets indésirables graves inattendus. La loi, le Code de la santé publique dit qu’on peut tout déclarer. J’ai assisté à des obstacles : à la demande de professionnels de santé, on a mis en œuvre, dans la région Pays de Loire, une aide à la déclaration pour les professionnels de santé, et pour les citoyens, juste pour jouer l’intermédiaire entre le centre de pharmacovigilance et ces citoyens qui étaient perdus. Attaque frontale par voie de presse, du directeur de l’hôpital lui-même, de 119 médecins et pharmaciens par voie de presse qui affirmaient qu’il n’y a pas sous-notification en pharmacovigilance. […]
Concernant l’ANSM, on a parlé des liens de causalité. Ils disent qu’ils font une observation des effets attendus. En même temps, ils nous disent qu’il y a une sous-notification. Comment on peut parler d’observer […] lorsque le numérateur est forcément sous-estimé ? […]

Sur le bénéfices-risques, je vous invite à lire ce que M. le
ministre des Solidarités et de la Santé en personne a dit lors d’une conférence de presse le 18 février 2021. Qu’aucun pays européen n’avait apporté les preuves sur les formes graves, alors qu’on avait commencé à vacciner deux mois auparavant, et regardez le rapport qu’il a versé au Conseil d’État pour justifier le maintien des personnes doublement vaccinées. Ils n’avaient pas le droit de sortir des Ehpad, elles étaient confinées au même titre que les personnes non vaccinées. Ces quatre arguments du ministre, dans un mémoire en date du 28 mars 2021 versé auprès du Conseil d’État, vous demandaient à quoi sert ce vaccin.

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Capture-d’écran-2022-05-30-à-19.04.25-1024x241

[…] J’ai listé toutes les contradictions des autorités entre elles, sur les formes graves, et sur la transmission virale. Donc, il n’y a aucune affirmation de ma part, ce ne sont que des extraits des autorités officielles. […]

Sur M. le professeur Fischer, je le renvoie à la note d’alerte que le COSV avait diffusée et qui a montré des clusters dans les Ehpad, et il savait pertinemment, il parlait au conditionnel […] l’efficacité donnée, pas celle qui était diffusée dans les médias, c’est 35 %, au conditionnel, et il savait très bien, mais en même temps, ce qui est caractéristique dans cette affaire, et vous êtes mathématicien M. le président, la logique, vous savez ce que c’est […] on ne peut pas relever toutes ces insuffisances et on ne peut pas se prévaloir de ces contradictions, c’est-à-dire relever que le vaccin, y’a des clusters, des insuffisances, etc., et en conclusion, on prend la conclusion inverse. C’est-à-dire qu’on peut continuer de vacciner et surtout, on peut obliger les gens…

« On ne peut pas obliger les gens à se vacciner. […] Je pense que l’obligation vaccinale, il faudra l’arrêter au plus vite. »

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Mar 22 Aoû - 22:45

DEPUIS ces DERNIERS MOIS
la MORTALITÉ
des TRIPLE VAX
est bien SUPÉRIEURE
aux NON VAX


Exemple du Canada pourtant covidiste :
Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Image-80

Diffusons la synthèse de Robert Malone inventeur de la technique ARNm et qui comme Einstein en son temps avec la bombe atomique, contemple avec effroi les méfaits de son invention. Bien sûr la science n’est pas coupable, mais seulement les hommes qui tentent de l’utiliser à des fins morbides.

AVERTISSEMENT DU SAVANT ROBERT MALONE AU MONDE ENTIER

Robert Malone affirme que si vous êtes vaccinés, vous avez été trompés par les laboratoires et leurs complices qui ont usurpé les fonctions régaliennes.

« Nous déclarons, et les données confirment, que les injections de la thérapie génique expérimentale Covid 19 doivent cesser. Ces produits ne préviennent pas l’infection, la réplication et la transmission… La majorité des infections se produit chez les vaccinés. Nous ne savons pas ce que l’ARN injecté va donner dans l’avenir… Il faut rétablir une période d’essai minimale de 5 ans… Nous demandons à la FDA de supprimer l’autorisation d’urgence… Nous devons reconnaître que les injections ont causé beaucoup plus de mal que de bien, n’apportant aucun avantage et ne réduisent pas l’infection… À long terme,les injections peuvent abîmer de façon irréversible, le cœur, le cerveau, les organes des enfants…de tous… »
https://odysee.com/@Q…uestions:6/Dr.-Robert-Malone–Stop:a

(Source)

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 24 Aoû - 22:45

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Message par Gilbert Chevalier Dim 27 Aoû - 23:07

Des ENFANTS INJECTÉS
avec des DOSES pour ADULTES et PÉRIMÉES.
On n'a jamais vu ça !

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Message par Gilbert Chevalier Mar 29 Aoû - 22:46

La PETITE est MORTE par ta PIQÛRELes PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 F09f98b1?mutk4hdeo4n42:
MERCI BILL
Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 F09f98a1?mutk4hdeo4n42



La maman a fait confiance à la propagande.

La petite fille est partie : qu'elle repose en paix.

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Message par Gilbert Chevalier Mer 30 Aoû - 22:41

Bientôt 3 INJECTIONS contre la COVID
pour les ENFANTS à partir de 6 MOIS,
AVANT même la FIN des ESSAIS CLINIQUES ?

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 21127910

Le 23 mai, les laboratoires Pfizer et BioNTech publiaient un communiqué de presse annonçant,  comme de coutume avant la fin des essais cliniques, l’efficacité et l’innocuité de leur vaccin Comirnaty pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans. Tout comme l’a fait Moderna le 28 avril dernier, ils comptent déposer prochainement une demande d’autorisation d’utilisation auprès de l’Agence américaine du médicament.

Onze vaccins obligatoires, c’est ce par quoi les enfants français doivent passer à partir de l’âge de 2 mois pour avoir accès aux lieux collectifs et à l’école. Devront-ils bientôt se faire vacciner contre la Covid-19 dès leurs 6 mois ?


À nouveau juge et partie au sein d’une stratégie bien huilée


Comme de coutume, Pfizer et BioNTech ont proclamé dans un communiqué de presse que leur création Comirnaty était une réussite à partir de leur propre étude. On peut donc s’attendre à ce que, suite à leur dépôt prochain de demandes d’autorisation aux États-Unis et dans le monde, la FDA américaine puis l’EMA européenne leur accordent d’ici quelques semaines ou quelques mois une autorisation conditionnelle dans des délais beaucoup plus courts que pour les autres vaccins, bien avant la fin des essais cliniques prévue le 14 juin 2024.

Bien que les enfants de cet âge-là soient très peu touchés gravement et durablement par la Covid-19, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré :

« Nous avons hâte de pouvoir finaliser nos dépôts de dossiers auprès des agences de régulation dans le monde, avec l’espoir de rendre ces vaccins disponibles pour les plus jeunes enfants aussi vite que possible. »

Ils sont un peu en retard par rapport à Moderna, qui a déposé fin avril aux États-Unis une demande d’autorisation pour pouvoir administrer son vaccin aux enfants entre 6 mois et 5 ans.

Selon le Huffington Post :

« la FDA a pour sa part déjà annoncé prévoir trois réunions en juin pour étudier l’autorisation du vaccin de Pfizer chez les enfants de moins de 5 ans, et de celui de Moderna pour les moins de 6 ans. »
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Une étude peu détaillée


Quand on regarde de plus près l’étude, on se rend compte qu’il est difficile de distinguer la catégorie d’âge de 6 mois à 5 ans des autres. Il y est indiqué que cette étude concerne 15 350 individus âgés de 6 mois à 25 ans, sans qu’on puisse savoir combien de personnes composent chaque catégorie.

C’est le communiqué de presse de Pfizer/BioNTech du 23 mai qui nous en dit un peu plus :

« La troisième dose de 3 µg a été bien tolérée par 1 678 enfants de moins de 5 ans, avec un profil de sécurité similaire à celui du placebo. Une efficacité vaccinale de 80,3 % a été observée dans l’analyse descriptive de trois doses à une période où Omicron était la variante prédominante. La dose de 3 µg, qui correspond à un dixième de la dose pour les adultes, a été sélectionnée pour les enfants de moins de 5 ans sur la base de la sécurité, de la tolérance et de l’immunogénicité. »

1 678 enfants ont donc reçu les trois doses de vaccin, la troisième étant injectée au minimum deux mois après la deuxième. À ce jour, à partir d’une semaine après l’injection de la troisième dose, 10 cas d’infections ont été rapportés. L’analyse complète d’efficacité sera arrêtée après le recensement de 21 cas.

Des effets secondaires volontairement oubliés ?


À part rabâcher que suite à l’injection, il existe une faible probabilité d’avoir une réaction allergique grave ou une myocardite, ou nous inviter à consulter un médecin si certains symptômes énumérés de manière non exhaustive apparaissent, Pfizer et BioNTech ne communiquent aucune information au sujet des effets secondaires chez les enfants de l’étude. En ont-ils eu et, si oui, lesquels ? Une fois de plus, silence radio.
(Source)

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Message par Gilbert Chevalier Jeu 31 Aoû - 22:43

L'OPECST :
DÉCLARATION, ANALYSE et COMMUNICATION
autour des EFFETS INDÉSIRABLES
des VACCINS contre la COVID-19
(Mardi 24 mai 2022)


Voici la séance complète de l'OPECST du mardi 24 mai 2022, j'ai tenté de normaliser l'audio afin d'entendre au mieux chaque intervenant, j'ai retiré le moment de pause, et simplement accéléré les quelques temps morts !

Ceci correspond aux prises de paroles, pratique pour entendre un moment, une personne en particulier, il suffit de cliquer sur la personne choisie, (option uniquement disponible sur la page du Sénat)

Déclaration, analyse et communication autour des effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 :

Cédric VILLANI
Florence LASSARADE
Gérard LESEUL
Sonia de LA PROVÔTÉ


Le dispositif de pharmacovigilance :

Cédric VILLANI
Bernard CELLI
Christelle RATIGNIER-CARBONNEIL
Cédric VILLANI
Alain FISCHER
Laurence MULLER-BRONN
Annie-Pierre JONVILLE-BERA
Joëlle MICALLEF
Sophie GAUTIER
Christelle RATIGNIER-CARBONNEIL
Alain FI


Voix critiques sur l’analyse et la prise en compte des effets indésirables dans la campagne de vaccination contre la Covid-19 :

Cédric VILLANI
François ALLA
Amine UMLIL
Cédric VILLANI
Amine UMLIL
Aure SAULNIER
Sonia de LA PROVÔTÉ
Echanges entre les auditionnés
Cédric VILLANI

(Source : Déclaration, analyse et communication autour des effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 )

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Message par Gilbert Chevalier Ven 1 Sep - 22:32

La « VARIOLE du SINGE »
comme possible EFFET SECONDAIRE
de « VACCINS » ANTI-COVID ?


Miles Guo lanceur d’alerte chinois :

« La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »

(Source)


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Message par Gilbert Chevalier Dim 3 Sep - 22:41

VACCIN contre le COVID-19 :
un NOUVEL EFFET SECONDAIRE DANGEREUX
pour la PEAU ?

Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Th-12110

Une étude menée par des scientifiques turcs atteste que sept personnes ont développé une pathologie rare de la peau après la vaccination contre le Covid-19.

Plus d’une personne sur dix fait état d’effets secondaires liés à la vaccination contre le Covid-19, selon l’Agence européenne des médicaments. Si beaucoup souffrent de maux de tête, de fièvre ou encore de douleurs à l’endroit de l’injection, certains auraient aussi développé des symptômes cutanés.
Vaccin contre le Covid-19 : une maladie rare de la peau chez certains patients
Une récente étude publiée dans l’International Journal of Dermatology a mis en lumière ce qui semblerait être un nouvel effet indésirable lié à la vaccination contre le Covid-19. En effet, selon les recherches menées par des scientifiques turcs, plusieurs patients vaccinés auraient développé une maladie rare de la peau, appelée pemphigoïde bulleuse.
Qu’est-ce que la pemphigoïde bulleuse ?
Les PIQUOUSÉS ne VIVRONT PAS PLUS de 10 ANS ! - Page 12 Figure10

La pemphigoïde bulleuse est une maladie bulleuse de la peau, qui se caractérise par des bulles (ou cloques), en général de grande taille, se développant sur une peau rouge (cela ressemble de l’urticaire ou à de l’eczéma), informe la société française de dermatologie. Le nombre de bulles présentes sur la peau est variable d’un individu à l’autre. Parfois, il peut même ne pas y en avoir, ce qui rend le diagnostic plus compliqué. Les patients atteints de cette maladie souffrent aussi de démangeaisons.

La pemphigoïde bulleuse est une maladie auto-immune, ce qui signifie qu’elle est, comme toutes les pathologies auto-immunes, liée « à la fabrication anormale par l’organisme d’anticorps dirigés contre soi-même », explique la SFD. Ce phénomène touche essentiellement la peau et notamment le corps et les membres, plus rarement le visage. La maladie peut aussi toucher les muqueuses (buccales et génitales) mais cela concerne moins de 10% des cas. Elle n’est ni contagieuse, ni héréditaire.

Cette pathologie affecte majoritairement les personnes âgées de plus de 70 ans.
Quel lien entre la pemphigoïde bulleuse et le vaccin contre le covid-19 ?
Les recherches dirigées par les scientifiques turcs mettent en avant les cas de sept personnes ayant développé la maladie bulleuse, quatre à six semaines après avoir reçu leur première, deuxième ou troisième injection de vaccin contre le Covid-19. À noter qu’il s’agit de personnes âgées.

Parmi les sept patients, quatre d’entre eux ont développé l’affection pour la première fois. Tandis que les trois autres ont eu un épisode récurrent après leur vaccination. « Dans deux des quatre cas d’apparition de la maladie, la pemphigoïde bulleuse a été observée après la deuxième dose de CoronaVac à virus inactivé. Pour les deux autres, cela s’est produit après leur troisième dose, pour laquelle ils ont reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech », indiquent les chercheurs. Avant d’ajouter : « La période de latence de la nouvelle pemphigoïde bulleuse variait de 2 semaines à 1 mois après la vaccination, alors qu’elle était aussi courte qu’une semaine après la première dose chez un patient présentant une exacerbation post-vaccinale. » Selon l’étude, l’état de la peau des patients s’est amélioré grâce à un traitement.

Les scientifiques sont tout de même prudents. À ce jour, ils ne peuvent établir un lien définitif entre la maladie et les vaccins contre le Covid-19. Ils estiment que d’autres recherches sur le sujet doivent encore être menées.

(Source)

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Message par Gilbert Chevalier Lun 4 Sep - 22:39

« Une FAILLITE de la PHARMACOVIGILANCE »
sur les EFFETS SECONDAIRES
de la VACCINATION COVID

« Ce dont on s’est aperçus, c’est que l’on a autant d’effets secondaires liés au vaccin contre le Covid-19, menant à une cécité, sur la période 2021-2022 que pendant 30 années cumulées confondues (entre 1990 et 2020). Et l’on a également plus d’AVC, de troubles du cycle menstruel et de choc anaphylactique », explique Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique, tableau à l’appui.

Accompagnée de Vincent Pavan, mathématicien, les chercheurs sont venus expliquer les nouvelles statistiques disponibles dans les systèmes de pharmacovigilance qui enregistrent les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19.

Le 29 avril dernier, ils ont remis à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPESCT) un rapport concernant le calcul d’indicateurs statistiques sur les effets indésirables liés aux injections ARNm (ARN messager) depuis les bases de données de pharmacovigilance européenne (EudraVigilance) et américaine (VAERS). Des systèmes de pharmacovigilance qui ne sont pas exempts de défaut, mais qui sont les seules bases à partir desquelles ces scientifiques peuvent effectuer leur travail. Par conséquent, c’est à partir des chiffres de cette pharmacovigilance, dont ils ont conscience qu’elle a ses limites, que les enseignants-chercheurs détaillent la présentation résumant leur rapport.

Comme le fait remarquer Emmanuelle Darles, « les chercheurs n’ont pas accès aux données françaises et les organismes d’État, les institutions ne veulent pas communiquer ces données, qui sont totalement fermées. Donc, on n’a aucun moyen aujourd’hui de vérifier les statistiques qui sont apportées par les rapports de l’ANSM ou CRPV ».

Les chercheurs reviennent sur le rapport bénéfice/risque de la vaccination des enfants. Un bénéfice qui n’existe pas pour cette tranche d’âge puisqu’à l’exception des cas particuliers de comorbidités, les enfants sont peu sensibles à une infection grave par Sars-CoV-2, contrairement aux adultes, tandis que la létalité est quasiment nulle pour cette tranche d’âge.

« Les enfants ne sont pas touchés par le Covid, on a démontré que le vaccin était très néfaste d’un point de vue quantitatif. Les enfants sont particulièrement touchés par les effets indésirables de ces vaccins. Quand j’ai expliqué ça aux membres de l’OPESCT, ils m’ont répondu qu’ils étaient au courant. Ils sont au courant que ces vaccins sont néfastes pour les enfants
», évoque Emmanuelle Darles.

Malgré cela, la France aurait commandé 12 millions de doses pédiatriques des vaccins contre le Covid-19.
Voir aussi : Vaccins: « 8 vaccinés sur 1 000 souffrent d’effets secondaires graves », selon une étude allemande

(Source)

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Message par Gilbert Chevalier Mer 6 Sep - 23:12

Le REPORTAGE CHOC
sur les 300 000 SOIGNANTS SUSPENDUS :
« Ils nous ont soignés, on les a méprisés »


https://gloria.tv/post/BrTJFG98nwj66Fs7U9JNi4ifE

Fabien Moine, documentariste est l'invité d'André Bercoff.

(Source)

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